Alors que se déroulent en ce moment les états généraux de la bioéthique, notre commission a consacré, mercredi 18 avril, une matinée à une table ronde avec différents acteurs médicaux, universitaires et associatifs. L’occasion pour moi de rappeler l’importance des valeurs de l’humain dans le débat, et les dangers de la perspective d’une fin de vie qui serait reléguée à une simple problématique de protocole médical. Le traitement de la douleur et les soins palliatifs s’inscrivent dans la réalité humaine du dernier moment. Les équipes d’aidants et de soignants ont un rôle fondamental dans cet accompagnement.
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